Apprendre à ressusciter

Sur les chemins quotidiens de notre vie
Où il nous précède et nous attend,
Jésus nous apprend à ressusciter.

Car la Résurrection n’est pas un état final
Qui adviendrait brutalement à notre mort :
C’est une éclosion, c’est une avancée.

Jésus nous apprend à ressusciter car on apprend à ressusciter
Comme on apprend à faire ses premiers pas et à se tenir debout.

A la suite de Jésus, vivre c’est apprendre à ressusciter:
C’est apprendre à vivre en homme et en femme,
Chaque jour, de façon humaine, tout simplement,
C’est apprendre à donner de soi, c’est apprendre à croire
Que Dieu se consacre au bonheur du monde,

C’est apprendre à espérer que la vie a un sens
Et que la mort est un passage,
C’est apprendre à aimer à la façon de Dieu,
À écouter l’Esprit de Dieu en nous.

C’est apprendre à s’arracher au mal,
À partager avec chacun ce qui est nécessaire à la vie,
À refuser des situations indignes de l’être humain, c’est lutter,
Ne pas se taire quand la qualité de la vie est en cause et celle de l’amour,

C’est apprendre à vivre selon l’Évangile
Parce que c’est le chemin tracé par Jésus et sur lequel il nous précède
Afin de nous introduire dans la Résurrection!

Pensée de la semaine

Je suis ressuscité, et je me retrouve avec toi. Ta main s’est posée sur moi, ta sagesse s’est montrée admirable, alléluia. (Ps 138, 18. 5-6)

DIMANCHE DE PÂQUES (A) 12 AVRIL 

JOUR DU SEIGNEUR                           

Livre des Actes des Apôtres  (10, 34a.37-43)   

Lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (5, 6b-8)

Saint Jean (20, 1-9) 

2e  DIMANCHE DE PÂQUES (A) 19 AVRIL
DIMANCHE DE LA MISÉRICORDE DIVINE  

JOUR DU SEIGNEUR                            

Livre des Actes des Apôtres (2, 42-47)       

Lettre de saint Pierre  apôtre (1, 3-9)

Saint Jean (20, 19-31)

3e DIMANCHE DE PÂQUES (A) 26 AVRIL   

JOUR DU SEIGNEUR                             

Livre des Actes des Apôtres (2, 14.22b-33)
Lettre de saint Pierre  apôtre (1, 17-21)
Saint Luc (24, 13-35)

Cher(e)s paroissien(ne)s
Voici la photo d’une Icone que j’ai à la maison.  Comme je l’ai déjà dit, hier j’ai célébré le Jeudi Saint à St. Barnaby et aujourd’hui (Vendredi Saint) je dirai des prières spéciales (pas le droit de célébrer la Passion tout seul): la lecture de la Passion, la litanie d’Intercessions et bien sûr, l’Office des Heures, tout comme ce que nous appellons le  »Canon à notre Seigneur Jésus Christ », qui est  un service de Rite oriental.
Également, je réciterai le chapelet de la Divine Miséricorde (vous pouvez le réciter avec moi… oui… c’est bien moi…  J’ai fait ça il y a des années; c’est notre secret, OK?
 
 
Désolé, seulement en anglais 
Un jour à la fois 
Paix En Jésus Christ
Père Bob
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jeudi 9 avril 2020

Sermon du Triduum

La neuvaine de la Miséricorde commence le vendredi saint.

JEUDI SAINT

Chers paroissiens 

Shalom ! Que la paix habite vos cœurs et dans vos foyers ! 

Je vais faire les choses un peu différemment cette semaine, en cette Semaine Sainte, en ce qui concerne mon « message », mes « mots d’encouragement » et mon « homélie ». Le fait est qu’en raison de la situation dans laquelle nous nous trouvons avec ce  » confinement  » bienveillant (quarantaine / isolement), tout est  » différent « . C’est drôle, parce que je passais en revue les sermons passés pour voir si certains d’entre eux m’avaient inspiré de manière importante dans le but d’en tirer des idées et les inclure (je ne vais pas le faire après tout). J’ai lu dans une des réflexions quelque chose comme « …chaque année nous lisons les mêmes Écritures et nous faisons les mêmes démarches etc… ». Eh bien, cette année, ce ne sera pas le cas. Les lectures de l’Écriture, oui, bien sûr, mais nous ne ferons rien « de la même manière » cette année. Alors, commençons par cela. 

J’ai déjà entendu des commentaires (ou je les ai lus dans des courriels) exprimant plus ou moins la tristesse que les choses soient si  » cachées  » cette année en ce qui concerne nos services de la Semaine Sainte et qu’il soit triste que nous ne puissions pas remplir les églises et faire ce que nous faisons habituellement le dimanche de Pâques. Certaines personnes ont même exprimé leur tristesse et leur inquiétude pour moi personnellement et ont dit qu’elles « …se sentent tellement tristes… » parce que je serai seul à Pâques, à célébrer dans une église vide. Il serait ridicule de prétendre que ce ne sera pas triste. Bien sûr que ce sera triste. Mais il y a un cadeau qui nous est offert au sein de cette réalité. 

Tout d’abord, et c’est très important… la célébration de la Semaine Sainte et de Pâques ne concerne pas seulement le « prêtre ». Je suis triste de ne pas être avec vous tous à Pâques, c’est sûr. Extrêmement triste en fait… Je ne mentirai pas. Je ne suis qu’un être humain après tout. Mais, il ne s’agit pas que de moi ! Et combien de fois j’ai essayé de transmettre ce sentiment d’une autre manière dans mes réflexions ! Il ne s’agit pas de savoir « qui » porte les vêtements, etc. mais de savoir ‘’qui’’ ces vêtements représentent : Le Christ Jésus et son sacerdoce ! Vous savez, et je suis sûr d’avoir déjà partagé cela auparavant, il existe une tradition parmi les chrétiens orientaux, généralement les orthodoxes russes… ils ont ce qu’ils appellent des « vêtements à dos haut ». On peut à peine voir le prêtre dans cette chasuble qui est ornée et renforcée de sorte que le col remonte et tourne presque au cou du prêtre. (On dirait presque une tente) Lorsque nous demandons pourquoi, la réponse est : « …c’est pour souligner que c’est le Grand Prêtre-Jésus-Christ et non « le prêtre humain » qui porte ces vêtements.  Autant j’aime porter les vêtements que nous portons en Occident, autant je suis inspiré par ce sentiment qui indique un fait : « Lui Seul est Saint, Lui Seul est Seigneur, Jésus-Christ… » Le « sacerdoce » lui appartient, à lui, Jésus le Christ ! Commençons donc notre voyage vers ce lieu, c’est-à-dire avec le Jeudi Saint, qui marque le début de la Passion, de la mort et de la résurrection du Christ.

 Une fois de plus, rappelons-nous que la « Dernière Cène » n’était pas une affaire facile. Je pensais l’autre jour que même l’événement du lavement des pieds, qui est devenu un rituel, aurait été une réalité que nous n’aurions pas pu comprendre, à cause de la différence culturelle. Le thème central de cet événement, le lavement des pieds, avait pour but de souligner le fait que Jésus assumait le rôle de « serviteur » alors qu’il était considéré comme le « Maître ». Nous n’avons aucune idée de la confusion qu’il y avait chez les disciples de Jésus à le voir se rabaisser ainsi (dans leur perception bien sûr) !  Cela les a scandalisés sans doute, et il serait tout à fait normal qu’ils se sentent ainsi, compte tenu de la culture dans laquelle ils se trouvaient. Pourtant, Jésus leur avait enseigné depuis le début : « …celui qui veut être grand parmi vous doit être votre serviteur… »  MT 20:26  

Puis, finalement, Jésus partage avec ses apôtres ce qui deviendra par la suite l' »Eucharistie » et, en même temps, Jésus institue le sacerdoce – SON Sacerdoce. Dans un sens, on pourrait dire que ce rôle de « serviteur » continue mais maintenant, le Serviteur souffrant non seulement « sert » (diakonia ) mais se donne Lui-même comme nourriture – une nourriture céleste ! Imaginez maintenant, si nous pensons qu’il était difficile pour les apôtres de comprendre le lavement des pieds, combien plus leur serait-il difficile de comprendre ÇA ? Et arrêtons-nous un instant, s’ils comprenaient, surtout la réalité de l’Eucharistie, alors cela serait problématique, et c’est tout aussi vrai aujourd’hui ! Il ne s’agit pas de « comprendre » ! Dès que nous nous libérons de la nécessité de « comprendre » les actions de Dieu dans ce Très Saint Sacrement, c’est alors que nous pouvons commencer à entrer dans ce que nous appelons « les Mystères Sacrés » ! Restons-en là. Réjouissons-nous de ce « mystère » de l’Amour radical de Dieu exprimé dans la nouvelle Pâque, le Nouvel Exode. 

Concluons cette partie de la réflexion en réalisant qu’au sein de cet événement, qui est la dernière Cène, tout le « mystère » pascal est en quelque sorte révélé et célébré par ce repas sacré qui se poursuit encore aujourd’hui et, d’une manière que Dieu seul connaît, le temps s’arrête. En fait, le temps n’existe pas – car Dieu n’est pas limité par le temps ou l’espace. Ce fait devrait nous réconforter dans cette période d’incertitude. Il devrait nous apporter l’espoir. Pas seulement par rapport au fait que nous marchons déjà avec le Sauveur ressuscité, mais par rapport au fait que « Dieu n’est pas limité… par le temps ou l’espace ».  Où que vous soyez en ce moment même, DIEU EST !

VENDREDI SAINT

Nous serions surpris d’apprendre que dans les premiers siècles du Christianisme, il n’y avait pas de séparation claire entre la commémoration des événements du Vendredi Saint, c’est-à-dire la Passion du Christ, et la célébration de la Résurrection.  Ce n’est qu’au IVe siècle que s’est développée dans la liturgie de l’Église une célébration cohérente qui mettait l’accent sur les événements dans une sorte d’ordre chronologique. Nous devons également nous rappeler que dans l’Église primitive, il n’existait pas un livre solitaire appelé « Bible » comme nous l’avons aujourd’hui, mais une tradition orale selon laquelle ces événements que nous appelons aujourd’hui Semaine Sainte (Triduum) étaient partagés dans le cadre de rassemblements, avec la fraction du pain. Je mentionne cela ici parce qu’il y a quelque chose d’essentiel pour nous dans notre cheminement avec le Christ, qui EST avec nous maintenant, à découvrir et à contempler et même à permettre que cela nous donne de la force, surtout en ce moment. 

Une fois de plus, nous nous sentons un peu désorientés parce que nous ne pouvons pas nous réunir et suivre les rituels de l’Église le Vendredi Saint et, en fait, toute la Semaine Sainte. Pourtant, dans l’Église primitive, c’était aussi une expérience différente. Il convient également de noter que les premiers chrétiens devaient souvent se « cacher » et qu’ils n’étaient pas « libres » de célébrer ouvertement parce qu’ils étaient persécutés. 

Voyons maintenant ce qui est chanté dans la liturgie orientale à Pâques (le Tropaire de Pâques) : « Le Christ est ressuscité des morts, par Sa mort Il a vaincu la mort ; à ceux qui sont dans les tombeaux, Il a donné la vie. ». Je voudrais citer le père John Behr, tiré d’une de ses réflexions données à Yale : « La joie de la résurrection est donc la joie de l’affirmation que celui qui est sur la croix est bien le Seigneur, piétinant la mort par sa mort. Et, à son tour, la célébration de la résurrection du Christ n’est pas un retour bienvenu à la vie de celui que nous pensions perdu, comme nous pourrions célébrer le retour de celui qui a été « sauvé de la mort » par une intervention médicale… c’est plutôt l’ouverture d’une autre forme de vie… la vie qui est la vie de Dieu lui-même ». 

« La vie de Dieu Lui-même » ! Vous savez, il faut le dire, c’était Dieu qui était sur cette croix ! (Jésus Christ : vrai Dieu et vrai homme) C’est Dieu qui est « venu à nous »… même dans cette réalité d’horreur absolue et de mort ! C’est Dieu qui a poursuivi ce qui avait été commencé lorsqu’il nous a créés de la poussière de la terre et « a soufflé en nous sa vie » ! C’est Dieu, « Emmanuel » – « Dieu avec nous » qui est notre vie en ce moment même.

Le Vendredi Saint n’est pas une commémoration de la défaite, de la perte. La croix, à bien des égards, est le sommet de toute l’histoire humaine : tout culmine dans cet événement et tout recommence…à partir de ce moment.  « Tout est accompli »!

PÂQUES

Selon l’évangile de Saint Jean, le jour de la résurrection Marie Madeleine serait allée au tombeau de Jésus très tôt le matin.  En découvrant que le corps de Jésus n’était plus là, elle se serait mise à pleurer.  Deux anges, assis dans la tombe, lui auraient demandé « Femme, pourquoi pleures-tu? »  Elle répond, « On a enlevé mon Seigneur et je ne sais pas où on l’a mis. ». Tout en parlant, elle voit Jésus et il répète ce que les anges avaient dit, « Femme, pourquoi pleures-tu?” Mais Jésus ajoute aussi « qui cherches-tu? »

Ça semble une drôle de question que Jésus pose.  Il sait sûrement qui Marie cherche et pourquoi elle pleure.  Pourtant, Jésus tient à lui poser ces questions très simplement.  « Pourquoi pleures-tu?  Qui cherches-tu? »

Jésus voulait peut-être que Marie-Madeleine cherche dans son cœur, et même qu’elle se pose la question « Qui ou qu’est-ce que je cherche?  Est-ce que je croyais Jésus quand il disait, avant d’être crucifié, qu’il ressusciterait de la mort le troisième jour?  Est-ce que je croyais qu’il parlait en paraboles, et qu’il ne voulait pas dire qu’il ressusciterait littéralement de la mort? »

Lorsque Marie Madeleine retourne aux apôtres pour leur dire que Jésus était vraiment ressuscité des morts, les apôtres croyaient qu’elle avait perdu la tête.  Depuis trois ans Jésus leur disait qu’il allait souffrir, qu’il allait être mis à mort et qu’il allait ensuite ressusciter le troisième jour.  Évidemment les apôtres ne comprenaient pas.  Soit ça, ou ils ne croyaient pas ce que Jésus leur avait dit.  Après tout, les apôtres étaient encore en état de choc après la mort brutale de Jésus et ils voyaient encore l’horreur du Golgotha.  Paralysés de crainte et de tristesse, ils voulaient simplement pleurer la mort de Jésus et reprendre leur vie.

Éventuellement, Jésus allait devoir apparaître parmi eux pour qu’ils commencent même à croire.

Dans certains sens, peut-être que la même question s’adresse à nous qui célèbre la résurrection de Notre Seigneur aujourd’hui : « Qui et qu’est-ce que je cherche? »

Celle-ci est une question avec laquelle nous sommes tous aux prises!  Il n’y a absolument aucune façon de s’en sortir.  Chacun de nous doit chercher au fond de son propre cœur et se poser la question… « En vérité …qui et qu’est-ce que je cherche? »

Mais il y a un autre message de Jésus qui est aussi important et que nous devons conserver précieusement, même pendant que nous tentons de répondre à la question de « qui et quoi nous cherchons ». Le Christ nous assure… « Moi je suis avec vous…. jusqu’à la fin des temps.

CONCLUSION

Chers amis en Christ, restons donc concentrés sur ces paroles, mais PAS seulement comme de simples paroles d’inspiration. Si tout ce que j’accomplis ici est d' »inspirer » brièvement, alors j’ai échoué. J’espère que je nous inspire tous, y compris moi-même, à ne pas chercher seulement des mots réconfortants, mais à chercher vraiment à être conscients de la présence même de Celui que nous appelons « l’Emmanuel-Dieu avec nous » et à essayer sérieusement d’entrer en communion, en présence du Dieu Saint, non pas par des mots ou même des images, mais par le doux silence, qui est le langage de Dieu.

Au début de ce parcours éprouvant, j’ai écrit ceci, et c’est avec ça que je souhaite conclure :
Je ne vais pas mentir, la « routine » va me manquer, pour ainsi dire. Mais nous n’avons pas le choix. Nous devons entrer dans cette sorte d' »expérience du désert ». Nous nous en sortirons. Vous verrez. Et nous aurons très probablement une véritable célébration de la Pentecôte !  Mais quoi qu’il en soit, le Christ est ressuscité MAINTENANT ! DIEU EST… MAINTENANT !

Enfin, vous êtes toujours dans mes prières. Je vais célébrer la messe pour les deux paroisses en privé (seul) et vous serez avec moi pendant ces célébrations ! Vous pouvez en être sûrs !
Que Dieu vous bénisse tous et, comme un vieux prêtre ukrainien, je savais qu’il dirait (avec un fort accent) sur son répondeur avant le « bip »… « Souriez, Dieu vous aime et moi aussi ! »

 

Père Bob

FÊTE DA LA DIVINE MISERICORDE

Jésus « Je désire que la fête de la Miséricorde soit un recours et un refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. (…) je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de Ma miséricorde.

Toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de sa punition; en ce jour-là sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate »      (PJ 699).

Le 30 avril 2000 le pape Jean Paul II a proclamé sœur Faustine sainte et il a constitué la Fête de la Miséricorde Divine pour toute l’Église

« Le Seigneur m’a dit de réciter ce chapelet [ le chapelet à la Miséricorde Divine] pendant neuf jours, avant la fête de la Miséricorde.

Il doit commercer le Vendredi Saint. Il a ajouté : « Pendant cette neuvaine j’accorderai aux âmes toutes sortes de grâces »

 (PJ 796).

CHAPELET DE LA DIVINE MISÉRICORDE

Le chapelet de la miséricorde est une prière donnée par Jésus à Sœur Faustine le 13 septembre 1935 à Vilnius. Il lui promettait alors de nombreuses grâces pour ceux qui implorent sa Miséricorde par ce moyen :

«  Les âmes qui réciteront ce chapelet seronts enveloppées par ma miséricorde pendant leur vie et surtout à l’heure de la mort. »

QUAND RÉCITER LA PRIÈRE DE LA MISÉRICORDE DIVINE ? 

Il est possible de le réciter quand on veut mais plus particulièrement à deux moments :

·         tous les jours à 15h (heure de la miséricorde, heure de la mort de notre sauveur Jésus-Christ),

·         ou lors d’une neuvaine à la Divine Miséricorde.

Faire mémoire à 15h de la passion du Seigneur Jésus est un bon moyen d’attirer à lui beaucoup d’âmes.

COMMENT RÉCITER LE CHAPELET DE LA MISÉRICORDE DIVINE ?

Pour réciter le chapelet de la miséricorde dire :

·         1 Notre Père (ou Pater Noster en latin)

·         1 Je vous salue Marie (ou Ave Maria en latin)

·         1 Symbole des Apôtres

·         Répéter 5 fois : le Père Éternel (x1) le Par sa douloureuse passion (x10)

·         Dieu Saint (x3)

Le chapelet de la Miséricorde est récité à l’aide de chapelets ordinaires de cinq dizaines et prend environ 10 minutes à réciter. 

Semaine du 5 au 11 avril 2020

Où suivre la messe en direct ?

“Allô tout le monde. Vous allez recevoir des réflexions bien tôt pour la semaine sainte. Mais, pour l’instant, je vous rappelle qu’au début de cette crise j’ai mentionné qu’il avait des paroisses qui offre « live streaming » de les services/messes et que moi je ne pensais pas que c’était nécessaire d’ajouter « mes célébrations » sur YouTube parce que il en existe EN MASSE! On a inclue plusieurs liens pour vous, incluant un lien pour notre Archidiocèse. Sur le site web du diocèse on offre plusieurs liens aussi, et surtout un rappelle à vous que, à la cathédrale Monseigneur Mulhall célèbre le Triduum entier et ceci vas être offert sur l’internet. » 

Père Bob

C’est avec tristesse que nous devons vous aviser que les célébrations des confirmations et les premières communion prévues pour ce printemps seront annulées en raison du Covid 19.

Nous vous tiendrons au courant lorsque nous aurons de nouvelles dates.
Jackie Litalien

Où suivre la messe en direct ?

Messes quotidiennes

Sur «  Sel & Lumière »  – diocèse de Montréal  à  08 hrs 30

Sur la Télévision :  COGECO  canal 185

Sur Internet:  https://seletlumieretv.org/messe/

Messes avec le Pape François

Sur Internet avec VaticanNews (Cliquez pour aller sur le site)

Diocèse de Québec

Sur internet  en direct du diocèse de Québec (Cliquez pour aller sur le site) 

Messes  dominicales

Oratoire St-Joseph de Québec

À la télévision – Radio Canada  10 hrs 00

Cogeco – canal  008

Le Pape François encourage prêtres et religieuses à servir les pauvres.

(https://www.vaticannews.va/fr/pape-francois/messe-sainte-marthe.html)

Dimanche 5 avril 2020

Sermon du Père Bob

[Début du SERMON]

Aujourd’hui, avec le dimanche de la Passion, ou « dimanche des Rameaux », nous commençons notre progression vers la Semaine Sainte. Ce sera certainement un cheminement différent pour nous cette année, c’est certain.

Lorsque Jésus entre dans la ville sainte, Jérusalem, et est accueilli comme un « Roi » avec des cris de « Hosanna au fils de David » etc. …est-ce que ces foules savaient que peu de temps après cet événement, allait se produire un parcours chaotique marqué par la souffrance et même, au sens terrestre du terme, la défaite ?

Peu après l' »Entrée Triomphale » …Notre Seigneur affronte les changeurs de monnaie dans le Temple et se retrouve bientôt en désaccord et en conflit avec les autorités religieuses. Ce n’est vraiment pas ce que prévoyaient ceux qui, plus tôt, chantaient avec joie et espoir « Hosanna au Fils de David ». D’une certaine manière, ils attendaient le début de la fin. Ils s’attendaient à ce que Jésus initie une sorte de révolution et que le peuple soit libéré de la tyrannie de l’oppression romaine. Mais ce n’est pas ce qui se passe. En fait, Jésus avait prévenu ses apôtres bien avant que les choses allaient tourner au vinaigre et même devenir dangereuses. Ils ne l’ont peut-être pas complètement cru ou ils ont senti qu’ils pouvaient peut-être changer le cours des événements. Il est évident que cela ne s’est pas produit.

Au lieu de cela, Jésus confronte les autorités et en défie beaucoup, et je parle des autorités religieuses qui, soit dit en passant, ont bénéficié d’un certain « arrangement » avec le gouvernement romain. Jésus a remis en question la façon dont les pauvres étaient traités et combien d’entre eux étaient apparemment « laissés pour compte »… même au nom de la « pureté » religieuse ou des règlements. Puis, avant de s’en rendre compte, un complot commence à se développer pour arrêter ce « Jésus de Nazareth » et finalement Le faire tuer.

Ainsi, ce qui a commencé comme la fête d’un roi qui conduirait le peuple vers la liberté, s’est terminé par une défaite totale, dans l’humiliation et le chaos. C’était une fin tragique. Dans leur esprit.

Pour nous, cette année, nous n’avons pas l’occasion de faire la fête avec de beaux ornements sacerdotaux, ni de faire des processions avec des Rameaux bénis et des beaux chants. Nous entrons dans la Semaine Sainte d’une manière que nous n’aurions jamais imaginée il y a seulement quelques semaines. Nous entrons dans la Semaine Sainte avec une incertitude sur tant de choses… des choses fondamentales… et même dans plusieurs cas… c’est juste une question de survie ! Nous entrons dans la Semaine Sainte paralysés par une pandémie mondiale et nos « célébrations » seront pour ainsi dire « virtuelles », sauf pour les célébrants qui dirigent les services de diffusion en direct. Même celles-ci sembleront différentes… il manquera quelque chose. Cela ne nous semblera pas normal. Nous éprouvons vraiment la crise.

C’est quand même la Semaine Sainte !  Nous commémorons ce qui s’est déjà passé. Et lorsque ces choses ont eu lieu, il ne s’agissait pas de liturgies joliment chorégraphiées avec de beaux chants et de l’encens de qualité… mais plutôt d’une expérience de souffrance humaine aiguë et, en réalité, de faire face à l’obscurité avec peu ou pas de confort ou de soulagement. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agissait d’une affaire brutale. Ce que la nature humaine a de pire est apparu au premier plan pour détruire un innocent et le meilleur des hommes. Et pourtant… et le plus important, c’est que Jésus n’a JAMAIS reculé ! Il ne s’est jamais détourné ! Il a CONFRONTÉ LA NOIRCEUR! Il a fait face à la noirceur… et il a CONQUIS la noirceur !

Nous marchons avec Lui. Nous aussi, nous ferons face à tout ce que nous devons affronter… AVEC LUI… AVEC ESPÉRANCE ! Et pour moi, élaborer davantage reviendrait presque à dévaloriser le message à ce stade. C’est simple… IL A CONFRONTÉ LA NOIRCEUR ! IL A SURMONTÉ LA NOIRCEUR ! C’est tout. C’est le message. Et C’EST là notre espoir !

P. Bob

[FIN du SERMON]

[BEGINNING OF SERMON]

Today, with Passion Sunday, or ‘Palm Sunday’ we begin our journey into Holy Week. It will certainly be a different journey for us this year, that’s for certain.

When Jesus enters the Holy City, Jerusalem, and is welcomed as a “King” with shouts of “Hosanna to the Son of David” etc. …little did the people in those crowds know that soon after this event, was to begin a journey into all sorts of chaos and suffering and even, in an earthly sense…defeat. Shortly after the “Triumphal Entry” …Our Lord confronts the money changers in the Temple and also soon finds himself at odds and in conflict with the religious authorities. This is really not what was anticipated by those who earlier shouted out in joy and expectation “Hosanna to the Son of David”. They were expecting the beginning of the end in some ways. They were expecting that Jesus was going to initiate a revolution of sorts and that the people would be set free from the tyranny of Roman oppression. But that’s not what happens. In fact, Jesus had warned His apostles long before that things were going to turn sour and even dangerous. They might not have completely believed Him or felt perhaps they could change the course of events. Obviously this did not happen.

Instead, Jesus confronts the authorities and challenges many of them, and I’m talking about the religious authorities who, by the way, many, profited from a certain ‘arrangement’ with the Roman government. Jesus challenged the way the poor were treated and how many were apparently “left out”…even in the name of religious ‘purity’ or regulations. Then, before you know it, there is a plot that begins to develop to stop this “Jesus of Nazareth” and eventually to have Him killed.

So, what started as a celebration of a King who would lead the people to freedom, ended with total defeat and humiliation and chaos. It was a tragic end. In their minds.

For us, this year, we don’t get to celebrate with nice vestments and processions with blessed Palms and beautiful chant. We enter Holy Week in a manner we truly never imagined only a few weeks ago. We enter Holy Week with uncertainty about so many things…BASIC THINGS… and even in so many cases… it’s just plain survival! We enter Holy Week crippled by a Global Pandemic and our ‘celebrations’ will be ‘virtual’ so to speak, save for the celebrants conducting the services for live streaming. Even these will seem different…something will be missing. It won’t feel normal. We truly feel the crisis.

It’s still Holy Week regardless!  We commemorate that which already happened. And when these things originally took place, it was not a matter of nicely choreographed liturgies with lovely chant and fine incense…but it was the experience of raw human suffering and in fact facing the darkness with little to no comfort or relief. It was to say the least, a brutal affair. The worst of human nature came to the foreground to wreak havoc on the innocent and the good.  AND YET…and here is the important part…Jesus NEVER backed down! He never turned away! He FACED THE DARKNESS! He faced the darkness…and he CONQUERED the darkness!

We walk with Him. We too will face whatever it is we need to face…WITH HIM–WITH HOPE! And for me to elaborate any further would almost cheapen the message at this point. It’s simple… HE FACED THE DARKNESS! HE OVERCAME THE DARKNESS! That’s it. That’s the message. And THAT’S our hope! 

[END OF SERMON]

MESSAGE DU 4 AVRIL 2020

Chers paroissiens

Bonjour à toutes et tous. 

J’espère que vous allez aussi bien que possible.  (Ceci n’est pas le sermon que vous recevrez pour le Dimanche des Rameaux.)

C’est un tout autre parcours…  C’est sûr.

Hier, le gouvernement de l’Ontario nous a fait des révélations troublantes qui nous font prendre conscience que la situation actuelle n’est pas normale, et qu’elle ne le sera pas pour un certain temps.  Je dois cependant ajouter que le Dr. Donnelly a bien souligné que, si nous suivons leurs directives très strictes, nous pourrions assister à un renversement radical de la situation : des vies sauvées (ce qui est et reste notre priorité), et même un rebondissement de notre économie.

Cependant, nous n’en n’avons aucune certitude.  Une des révélations que je trouve particulièrement troublante est la prédiction que ce virus pourrait être un problème pendant plus de 18 mois.  Ceci est vraiment inquiétant; c’est le moins qu’on puisse dire.  Est-ce que notre mode de vie s’en trouvera changé (y compris notre pratique religieuse), et ce, jusqu’à Noël?  Peut-être bien.

Ceci étant dit, je crois fermement que nous trouverons des solutions.  Dans mes deux paroisses, il y a des docteurs et des chercheurs… des scientifiques de tout genre, ce dont je suis très fier et j’en rends grâce à Dieu.  Nous vous saluons!  Nous prions pour vous et rendons grâce à Dieu pour votre vocation.  Comme je l’ai déjà dit, notre regard de catholiques envers la science n’est ni suspicieux, ni hostile.  Présentement, nous sommes en présence de mouvements, des mouvements religieux, qui prétendent plus ou moins que la science est une absurdité et que tout ce dont on a besoin c’est de mettre notre confiance en Dieu.

Bien sûr, tout ce dont on a besoin c’est de mettre notre confiance en Dieu, PARCE QUE Dieu nous a fait don d’intelligence et de curiosité d’esprit, dont nous devons nous servir. Avoir confiance en Dieu ne signifie PAS encourager une certaine théorie qui perçoit la science médicale comme étant ‘‘inférieure’’.  Dans notre tradition catholique, il y a des ordres religieux de femmes et d’hommes qui ont consacré tous leurs charismes à la profession médicale et au nursing.  Il y a même des Jésuites, qui sont des neurologues et des sœurs religieuses, qui ont fondé de grands hôpitaux à travers le monde et je pourrais donner bien d’autres exemples.

Apportons notre soutien aux travailleurs de la santé et aux chercheurs et scientifiques… parmi lesquels, certains font partie de notre communauté. Trouvons aussi de l’espoir dans leur existence et leur mission qui sont des dons de Dieu.

Donc, soyons réalistes, car notre parcours sera long.  Même si nous entrons dans une nouvelle normalité dans nos vies, d’une certaine façon je ne suis pas trop inquiet.  J’ai confiance en Dieu, parce qu’Il nous a donné des outils qui nous permettent d’être créatifs face à tout cela.

Mais je termine avec cette pensée :  J’espère que les habitants de cette planètes peuvent réaliser que nous sommes tous dans le même bateau, dans l’espoir que nous assisterons à une révolution de la bonté, de la compassion (souffrir avec) d’amour (caritas)… comme Jésus le demande… « Qu’ils soient un, Père, comme Vous et Moi sommes Un… »

Un jour à la fois

Shalom

Père Bob

Bulletin paroissial 5 au 10 avril 2020

Hosanna au fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna au plus haut des cieux!(Mt 21, 9) 

DIMANCHE DES RAMEAUX ET DE LA PASSION   

JOUR DU   SEIGNEUR  5 AVRIL
Livre du prophète Isaïe (50, 4-7)
Lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens (2, 6-11)
Saint Matthieu (27, 11-54)

LUNDI SAINT

De faux témoins se sont levés : on me rend le mal pour le bien, je n’ai plus d’appui. Éveille-toi : lève-toi pour me défendre, et pour juger, Seigneur mon Dieu.
(Ps 34, 11, 12.23) 

MARDI SAINT

Montre-moi, Seigneur, ton chemin, conduis-moi par des routes sûres, malgré ceux qui me guettent. Ne me laisse pas à la merci de l’adversaire.  (Ps 26, 11-12) 

MERCREDI SAINT

Au nom de Jésus, que tout être vivant tombe à genoux au ciel, sur terre et dans l’abîme.  Parce qu’il s’est fait  obéissant jusqu’à la mort, et la mort sur une croix. Jésus Christ est le Seigneur, pour la gloire de Dieu le Père.
(cf. Ph 2, 10.8.11) 

JEUDI SAINT

Livre de l’Exode (12, 1-8, 11-14)
Lettre de saint Paul aux Corinthiens (11, 23-26)
Saint Jean (13, 1-15)

« Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant ; plus tard tu comprendras. » (Jean 13, 7)

Le triduum pascal est lancé ! Nous sommes rassemblés pour célébrer les dons du Seigneur à son Église : l’eucharistie et le sacerdoce. Avec le Christ, nous entrons dans sa Pâque, dans le mystère de l’amour qui s’offre jusqu’au bout. Sûrs de la miséricorde du Père, nous rendons grâce pour l’Alliance nouvelle et éternelle, source de notre salut.

VENDREDI SAINT

Livre du prophète Isaïe (52, 13 – 53, 12)
Lettre aux Hébreux (4, 14-16; 5, 7-9)
La Passion de notre Seigneur Jésus
Christ selon saint Saint Jean (
18, 1 – 19, 42)

« Femme, voici ton fils. » Jean 19, 26

Au cœur du mystère pascal se dresse la Croix : signe de l’amour suprême du Serviteur, alliance entre la terre et le ciel, appel à la foi et à la charité. Le Christ, en ce jour, accomplit la Parole. En toute humilité, vénérons cette Croix qui porte nos péchés. Dans l’espérance, levons les yeux vers le ciel. La vie nous est offerte en abondance.

SAMEDI SAINT

VEILLÉE PASCALE

Livre de la Genèse (1, 1-2,2)
Lettre de saint Paul apôtre aux Romains (6, 3b-11)
Saint Matthieu (28, 1-10)

 Le long silence du samedi Saint cesse !

La nuit de la joie et de la délivrance s’ouvre.

 

 

Bonjour à vous, paroissiennes et paroissiens,

Toutes les semaines, un modeste bulletin, comme celui-ci, sera publié sur notre site afin que nous nous suivions en pensées, en paroles et en prières. 

J’espère que vous allez tous très bien malgré cette période de distanciation obligatoire. 

Je veux que vous sachiez qu’à chaque fois que je dis la messe en privé, je la dis à votre intention et que, comme vous tous,

 j’ai hâte que notre vie habituelle reprenne. 

Gardez la Foi !  Gardez en vous la certitude que nous sommes en communauté même si nous ne voyons pas en ce moment.   

Restez entourés des vôtres et même si vous êtes seul.e,  sachez que nous sommes en union de prière avec vous.

 Si vous ressentez le besoin de me parler, n’hésitez pas à laisser  un message téléphonique à la paroisse, au 613 542-2377. 

Dépassons le réflexe de Thomas et croyons sans voir et sans toucher.  Jésus est en chacun et chacune;  que Sa force nous soutienne et que le silence ou l’agitation qui nous entoure, selon nos circonstances, soit riche d’une musique divine. 

Prions les uns pour les autres. 

Père Bob Masters

votre curé

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Chers paroissiens/paroissiennes

Nous avons reçu des questions concernant la quête car certains ne veulent pas arrêter de soutenir l’Église… et se demandent comment faire.
Voici ce qui est proposé. Parce que nous ne savons pas combien de temps nous serons fermés et en confinement, quelqu’un qui veut continuer à donner, peut mettre chaque semaine le montant qu’il veut donner dans UNE ENVELOPPE à la maison. Lorsque nous reviendrons à la normale,  il ne s’agira que d’apporter cette enveloppe contenant la valeur de plusieurs quêtes et de la mettre dans le panier.

L’exception, bien sûr, serait pour toute collecte spéciale, dans ce cas, n’utilisez que l’enveloppe correspondante. (À titre d’exemple, la collecte du Vendredi Saint pour la Terre Sainte)
Une autre option à considérer pourrais écrire un chèque au lieu de l’argent comptant qui peux faciliter alors que sera le temps de compter les quêtes.

La perspective du « dépôt direct » a été proposée (pour de nombreuses raisons) mais sa mise en place est coûteuse pour une petite paroisse et ne serait pas possible avant la fin de cette crise. Cela dit, nous demeurons ouverts à ce type d’options dans le futur.
Enfin, et surtout… à aucun moment, surtout maintenant, personne ne devrait se sentir obligé de contribuer à la quête si cette crise a entraîné des difficultés financières. Cette communication n’est PAS un appel ; il s’agit simplement d’une question de  » gestion  » qui a été soulevée et nous voulons faciliter les choses pour tous… en particulier pour ceux et celles qui seront submergés par le comptage de la quête une fois que nous serons revenus à la normale.. Cette proposition vise tout simplement à simplifier le processus.

Que Dieu vous bénisse tous. 

P BOB 

PSAUME 23

Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. *

Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ;

il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal,

* car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ;

tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; *

j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours.